Enfant Sauvage, le projet solo de la moitié de The Blaze dévoile "Petrichor"
Publié : 19 novembre 2021 à 16h27 par Jean-Baptiste BLANDIN
Enfant Sauvage
Crédit : Presse kit @Sofiane Boualia
On avait pris l’habitude d’évoquer Guillaume Alric pour parler de The Blaze, le duo électronique qu’il exerce avec son cousin Jonathan Alric. Désormais il faudra aussi faire avec Enfant Sauvage, sa nouvelle escapade solitaire qui prend forme aujourd'hui avec son premier album "Petrichor".
Guillaume Alric alias Enfant Sauvage était l’invité, ce jeudi, d’Antoine Baduel dans l’Happy Hour pour nous parler de « Petrichor », son premier album solo qui est un pur bonheur auditif.
« Mon enfance à Clamecy m’a énormément inspiré »
On a découvert le projet solo du natif de Clamecy il y a un mois avec « Silent Love », puis « Time to Fall ». Deux pépites mélodiques accompagnées d’un clip chacun mettant en image l’enfance d’un enfant sauvage grandissant dans une ville industrielle, loin des grandes métropoles et des quartiers branchés.
Un voyage introspectif, réalisé par Guillaume Alric lui-même, complété avec « Force Field », le troisième clip dévoilé aujourd’hui, synonyme de la sortie officielle de « Petrichor ».
A l’image de The Blaze avec qui il a acquis une notoriété mondiale, Enfant Sauvage nous embarque dans un univers aérien à couper le souffle durant tout l’album. Qu’il soit sonore ou visuel, l’univers de The Blaze ne disparaît pas totalement, on y retrouve cette force émotive qu’on retrouvait déjà avec le duo mais avec une pointe personnelle en plus et donc forcément plus mélancolique.
Pour boucler la boucle, le clamecycois a organisé un shop éphémère tout le week-end à paris dans lequel il invite à découvrir en image son nouvel album Petrichor, qui au passage signifie cette odeur fumante qui survient les soirs d’été après le passage d’un orage. Le calme après la tempête c’est peut-être ça que Guillaume Alric a voulu retranscrire dans son nouvel album.
Ce qui est sûr c'est que ce premier album est une belle ode à la vie et une grosse dédicace à tous ces "enfants sauvages" qui grandissent loin des grandes villes.