[UNVRS] l’hyperclub d’Ibiza se dévoile peu à peu…

[UNVRS] l’hyperclub d’Ibiza se dévoile peu à peu…

Il sera à n’en pas douter sur toutes les lèvres quand débutera la saison 2025 d’Ibiza. [UNVRS] sera le nouveau club géant de l’île de toutes les fêtes. Ses patrons, les frères Pissenem en ont longuement parlé au micro d’FG et de l’Happy Hour.

Un lieu hors normes, doté des dernières révolutions technologiques liées aux concerts, permettant d’accueillir notamment les meilleures soirées, les shows les plus gros et les plus immersifs. Tout cela, demande un peu d’imagination car le club n’est pas encore sorti de terre !

Et pourtant, [UNVRS] commence à dévoiler sa future programmation. On vient d’apprendre que la mythique soirée d’Ibiza « Elrow » tiendra ainsi une résidence, chaque semaine de l’été, du 7 juin au 4 octobre 2025. On sait même que la soirée sera déclinée autour de 4 espaces car la fête ne se résumera pas à un dancefloor :

• Hallucinarium qui proposera une sorte d’expérience visuelle et psychédélique à grands renforts de projections.


• Kaos Garden vous permettra de respirer entre deux sets, dans un espace très arty mêlant art urbain et installations interactives.


• Nowmads célébrant la diversité culturelle et qui pourrait être un lieu d’échanges, de rencontres, un espace chill et un peu hors du temps.


• Sambowdromo qui devrait transporter les fêtards dans une sorte de carnaval brésiliens.

En bref, et à la faveur de cette seule résidence, on commence à comprendre ce que sera [UNVRS], un club – pardon, un hyperclub d’expériences, au pluriel. Un lieu de fête bien sûr, un lieu d’art aussi.

D’ailleurs, le directeur technique d'Elrow, Ferran Pascual, le dit : « Nous passons d'une configuration centrée sur la scène à une narration interactive où chaque recoin du club est vivant. C'est un terrain de jeu pour la créativité. »

Et tout cela rend encore plus excitante l’idée de ce nouveau club d’Ibiza qui pourrait aider à bouleverser, en profondeur le live électro/DJ, déjà en pleine évolution avec des shows comme ceux d’Anyma ou d’Eric Prydz. Un rapport au live qui ne manquera pas d’interroger, une fois encore, la pertinence du modèle « club ».