Les drops légendaires de la musique électronique

Vous connaissez l’importance des drops pour les musiques électroniques. À l’image des refrains pour les chansons pop, le drop en électro vient changer le rythme de la chanson, de manière plus ou moins brutale, et c’est (souvent) à ce moment-là que toute l’énergie du titre se libère, donc voici, selon nous, les drops les plus marquants de la musique électronique.

Le drop est un moment très attendu par les spectateurs, notamment en club, en concert ou en festival où l’énergie est décuplée. A tel point qu’il a presque créée l’EDM, genre musical qui se base, presque uniquement, sur ces fameux drops en question. Pas étonnant donc de commencer par un titre EDM pour ce classement. 

« Tu vas voir le drop est ouf », une phrase que l’on a tous entendu, et c’était souvent en parlant de David Guetta qui en a fait sa marque de fabrique à l’image de « Titanium », qu'on aime ou pas, c'est efficace.  

Quand le drop est plus connu que le nom de la chanson, en général, c’est qu’il est bon. « Tu connais les Bloody Beetroots ? Oui les gars qui font « One, Two, Woop Woop »

Dans un tout autre style, comment passer à côté du remix mythique de Flume de « You & Me » de Disclosure ? Une belle montée, et un drop rythmique très finement produit, la classe. 

Retour en France avec Gesaffelstein, connu pour ses tracks sombres, puissant et aux drops hyper efficaces. Il suffit parfois d’un kick bien placé pour faire lever une foule entière, c'est le cas sur "Viol". 

Et on termine par un titre bien différent des autres, il s’agit de « Baby » du sorcier britannique Four Tet. Un drop, mais surtout un break iconique qui prouve que l’on n’est pas obligé d’avoir des de feux d’artifices dans tous les sens pour apprécier un bon drop. Ici, Four Tet suspend le temps presque 1 minute pour nous laisser en compagnie de chants d’oiseaux et de sons naturels avant de reprendre avec un drop minimaliste et pourtant tellement efficace.